Samedi 29 août 2009
sur la plage de la Brague à Antibes (à côté de la Siesta)
18 h 30 :
Rencontre – débat «
Réussir avec le Front de Gauche »
avec
- Marie-Christine VERGIAT, députée européenne Front de Gauche
- Jacques LERICHOMME, responsable de Gauche Unitaire
- Joël RAMI , responsable du Parti de Gauche
- Cécile DUMAS, responsable de la section et membre du Conseil national du PCF, conseillère communautaire et conseillère municipale d’Antibes
- Gérard PIEL, vice-président du Conseil régional PACA, conseiller municipal d’Antibes
- Denis LA SPESA, conseiller municipal d’Antibes
20 h : Apéritif offert par la section
20 h 30 : Repas (Participation financière adulte 12 € - Enfant à partir de 12 ans 6 €)
Par Gérard PIEL
-
Publié dans : Antibes-CASA
0
-
Recommander
Rappelez-vous il y a quelques semaines à l’occasion des élections européennes, l’UMP
distribuait des prospectus vantant « l’Europe protectrice ».
La réalité rattrape l’imagerie de l’Europe libérale, les producteurs de fruits et légumes s’y trouvent confrontés à leur tour.
L’Europe protectrice qui disparaît, le gouvernement prend-il la relève ?
Que nenni !
Le ministre de la casse agricole déclare : « ils devront payer ! ».
Avant monsieur le Maire, c’était un certain monsieur Barnier qui était ministre de l’agriculture, il ambitionne de hautes fonctions européennes auprès de monsieur Barroso.
Voila comment le masque électoral à peine tombé, la casse sociale et économique sous l’appellation « concurrence libre et non faussée » continuent de plus belle.
Au fait, vous avez vu les prix et l’origine des fruits et légumes dans les supermarchés ?
Par Gérard PIEL
0
-
Recommander
Dans un billet d’Yves de Kerdrel, « humoriste » au Figaro, j’ai trouvé cette perle :
«
Bien entendu dans toute cette affaire de New Fabris, comme des autres actes violents menés à l’occasion de conflits sociaux, le pire c’est de constater la lâcheté et la pleutrerie des
pouvoirs publics. Voir le ministre de l’Industrie accorder une rallonge de 1 000 euros par ouvrier à une prime qui n’a aucun caractère légal, uniquement pour que des salariés renoncent à faire
sauter leur usine, c’est d’une gravité sans précédent. Cela signifie que l’Etat n’est plus en mesure de faire respecter un Code du travail qu’il a lui-même conçu. Surtout cela confère un avantage,
de fait, à ceux qui se mettent hors la loi… »
Ce point de vue ayant paru le 4 août 2009, 220 ans après la nuit du 4 août 1789, j’y vois soit un clin d’œil soit de l’humour involontaire !
Par Gérard PIEL
0
-
Recommander
Commentaires