Solidarité avec les salariés « sans papier»
Communiqué de la Fédération des Alpes-Maritimes du PCF
Des salariés « sans papier » des Alpes-Maritimes se mobilisent pour exiger d’être enfin considérés comme des êtres humains et des travailleurs.
Cette mobilisation pour la dignité met à mal l’argumentation d’un gouvernement et d’une droite qui n’ont eu de cesse de stigmatiser les sans-papiers dont ils font une cible privilégiée dans un discours qui emprunte largement au fond de commerce xénophobe de l’extrême droite.
Les communistes dénoncent l’hypocrisie d’une réglementation de l’immigration et d’une droite qui méconnaissent qu’au niveau national plus de 400 000 sans-papiers contribuent à la richesse de notre pays, payent le plus souvent des impôts et des charges, mais sont en même temps sans droits, ni à l’entreprise où ils sont corvéables à merci, ni à l’extérieur de l’entreprise où ils sont traqués.
Dans le département des Alpes-Maritimes ils sont d’un apport considérable dans des secteurs comme la restauration, l’hôtellerie, le bâtiment. Assez d’hypocrisie ! Même des fédérations patronales sont amenées à reconnaître le rôle de ces salariés pour la bonne marche des entreprises. Dans leur action, ces salariés porte un message universel de solidarité et d’égalité des droits entre tous les salariés.
Aujourd’hui, l’Union Départementale CGT a décidé de soutenir la création d’un collectif de travailleurs sans papiers pour leur régularisation et la défense de leurs droits légitimes de salariés. Et pour lutter contre un dumping social contraire à l’intérêt de tous les salariés.
Notre pays, sa population ne souffrent pas de l’existence de l’immigration, mais d’une financiarisation de notre société où l’être humain est sacrifié sur l’autel de la rentabilité des capitaux.
Le Parti Communiste Français défend une conception radicalement différente de l'immigration. Celle-ci est une chance pour notre pays, et la libre circulation est un droit fondamental réservé aujourd'hui aux seuls capitaux. Nous apportons tout notre soutien à ce mouvement.
Des salariés « sans papier » des Alpes-Maritimes se mobilisent pour exiger d’être enfin considérés comme des êtres humains et des travailleurs.
Cette mobilisation pour la dignité met à mal l’argumentation d’un gouvernement et d’une droite qui n’ont eu de cesse de stigmatiser les sans-papiers dont ils font une cible privilégiée dans un discours qui emprunte largement au fond de commerce xénophobe de l’extrême droite.
Les communistes dénoncent l’hypocrisie d’une réglementation de l’immigration et d’une droite qui méconnaissent qu’au niveau national plus de 400 000 sans-papiers contribuent à la richesse de notre pays, payent le plus souvent des impôts et des charges, mais sont en même temps sans droits, ni à l’entreprise où ils sont corvéables à merci, ni à l’extérieur de l’entreprise où ils sont traqués.
Dans le département des Alpes-Maritimes ils sont d’un apport considérable dans des secteurs comme la restauration, l’hôtellerie, le bâtiment. Assez d’hypocrisie ! Même des fédérations patronales sont amenées à reconnaître le rôle de ces salariés pour la bonne marche des entreprises. Dans leur action, ces salariés porte un message universel de solidarité et d’égalité des droits entre tous les salariés.
Aujourd’hui, l’Union Départementale CGT a décidé de soutenir la création d’un collectif de travailleurs sans papiers pour leur régularisation et la défense de leurs droits légitimes de salariés. Et pour lutter contre un dumping social contraire à l’intérêt de tous les salariés.
Notre pays, sa population ne souffrent pas de l’existence de l’immigration, mais d’une financiarisation de notre société où l’être humain est sacrifié sur l’autel de la rentabilité des capitaux.
Le Parti Communiste Français défend une conception radicalement différente de l'immigration. Celle-ci est une chance pour notre pays, et la libre circulation est un droit fondamental réservé aujourd'hui aux seuls capitaux. Nous apportons tout notre soutien à ce mouvement.