luttes et ripostes
lundi 13 oct. : Antibes, à partir de 16h30 - Maison des associations, Conseil
communautaire de la CASA, rassemblement pour le Droit au logement pour tousMardi 14 oct. : Nice 18h - Salle Arendoula- Conférence débat « l’agriculture bio dans le 06 et la région PACA »
Jeudi 16 oct. : Antibes 18h30 - Rencontre avec les locataires des HLM Laval et Laetitia pour des logements décents
Samedi 18 oct. : Peymeinade 15h - Réunion de l’association « Adepte » contre le projet de golf de Grangeneuve
Dimanche 19 oct. : Paris, Manifestation nationale pour l’Education nationale
Madame Elisabeth Barca,
secrétaire générale adjointe de la préfecture des Alpes-Maritimes, nous a reçu, Brigitte Thebault, Michelle Perrin, Denis La Spesa et moi-même ce matin.
Nous avons déposé 41 dossiers Droit Au Logement Opposable (DALO) qui s’ajoutent aux 200 dossiers déjà enregistrés. 1ère réflexion, 241 dossiers pour un département comme les Alpes – Maritimes, c’est un nombre ridiculement bas. On peut se demander si les communes relaient bien le dispositif pour les familles qui y ont droit ?
Au-delà de ces dossiers, nous avons déposé 15 dossiers de personnes, de familles menacées d’expulsion ou qui vivent en grande précarité (garages, voitures, caves, etc).
Nous avons eu une écoute attentive de la part de madame Barca mais le moratoire sera bien levé le 15 mars.
Par contre, nous avons l’engagement des services de l’Etat d’étudier au cas pas cas les dossiers d’expulsion.
Nous avons aussi demandé à madame Barca que monsieur le Préfet rappelle à l’ordre les maires des grandes villes et en particulier le député – maire d’Antibes concernant les logements vacants. Nous avons aussi insisté afin que la construction de logements sociaux prévue sur le terrain Muratori commence sans tarder. Nous avons pointé les terrains de l’INRA qui appartiennent à l’Etat où pourraient être aussi construits des logements sociaux.
Enfin nous avons demandé la mise en place immédiate de la plat-forme promise par le député – maire afin de traiter les dossiers en amont.
Comment accepter que pendant la période du moratoire seule une famille ait été relogée ?
Pendant que j’écris ce texte un monsieur fonctionnaire qui habite un logement OPAC vient de m’apporter son avis d’expulsion pour le 15 mars ! Seul avec un enfant alors qu’il a une saisie sur son salaire et les frais d’huissier qui s’ajoutent et la crainte de quitter le logement le matin pour aller travailler ou celle de voir le petit (3ans) face aux policiers…
Nous avons déposé 41 dossiers Droit Au Logement Opposable (DALO) qui s’ajoutent aux 200 dossiers déjà enregistrés. 1ère réflexion, 241 dossiers pour un département comme les Alpes – Maritimes, c’est un nombre ridiculement bas. On peut se demander si les communes relaient bien le dispositif pour les familles qui y ont droit ?
Au-delà de ces dossiers, nous avons déposé 15 dossiers de personnes, de familles menacées d’expulsion ou qui vivent en grande précarité (garages, voitures, caves, etc).
Nous avons eu une écoute attentive de la part de madame Barca mais le moratoire sera bien levé le 15 mars.
Par contre, nous avons l’engagement des services de l’Etat d’étudier au cas pas cas les dossiers d’expulsion.
Nous avons aussi demandé à madame Barca que monsieur le Préfet rappelle à l’ordre les maires des grandes villes et en particulier le député – maire d’Antibes concernant les logements vacants. Nous avons aussi insisté afin que la construction de logements sociaux prévue sur le terrain Muratori commence sans tarder. Nous avons pointé les terrains de l’INRA qui appartiennent à l’Etat où pourraient être aussi construits des logements sociaux.
Enfin nous avons demandé la mise en place immédiate de la plat-forme promise par le député – maire afin de traiter les dossiers en amont.
Comment accepter que pendant la période du moratoire seule une famille ait été relogée ?
Pendant que j’écris ce texte un monsieur fonctionnaire qui habite un logement OPAC vient de m’apporter son avis d’expulsion pour le 15 mars ! Seul avec un enfant alors qu’il a une saisie sur son salaire et les frais d’huissier qui s’ajoutent et la crainte de quitter le logement le matin pour aller travailler ou celle de voir le petit (3ans) face aux policiers…
par Gérard PIEL
publié dans :
Logement