Brutalité policière en Chine ?
Non, c’est à Cannes que cela se passe…
Avec une quinzaine d’élus, de militants communistes du département, nous avions prévu de distribuer une adresse aux congressistes de l’Union sociale de l’habitat au palais des festivals.
Une banderole et un millier de tracts de 17 h à 18 h, rien de violent ni de répréhensible, les services de police et des Renseignements généraux étaient prévenus.
Alors que cela se passait bien avec des discussions et des échanges intéressants, nous avons vu arriver une armada de policiers nationaux dirigée par un « vrai chef » qui nous a intimé l’ordre de partir, le palais des festivals étant sanctuarisé (sorte de place Tien an men).
Aprés palabre et confirmation que l’on peut être chef policier et obtus, l’ordre a été donné de « nous dégager ». Au passage Pierre Bernasconi, conseiller régional et président de l’association des élus communistes et républicains était molesté. lire le courrier adressé au préfet
Les congressistes ont pu ainsi constater que dans ce département, les maires des grandes villes ne respectent pas la loi SRU et que ce sont celles et ceux qui les obligent à le faire qui sont la cible des brutalités policières.
Attention, notre beau pays est en passe de perdre ses notions essentielles de démocratie et de liberté d’expression, l’état policier façon Sarkozy est en marche.
Avec une quinzaine d’élus, de militants communistes du département, nous avions prévu de distribuer une adresse aux congressistes de l’Union sociale de l’habitat au palais des festivals.
Une banderole et un millier de tracts de 17 h à 18 h, rien de violent ni de répréhensible, les services de police et des Renseignements généraux étaient prévenus.
Alors que cela se passait bien avec des discussions et des échanges intéressants, nous avons vu arriver une armada de policiers nationaux dirigée par un « vrai chef » qui nous a intimé l’ordre de partir, le palais des festivals étant sanctuarisé (sorte de place Tien an men).
Aprés palabre et confirmation que l’on peut être chef policier et obtus, l’ordre a été donné de « nous dégager ». Au passage Pierre Bernasconi, conseiller régional et président de l’association des élus communistes et républicains était molesté. lire le courrier adressé au préfet
Les congressistes ont pu ainsi constater que dans ce département, les maires des grandes villes ne respectent pas la loi SRU et que ce sont celles et ceux qui les obligent à le faire qui sont la cible des brutalités policières.
Attention, notre beau pays est en passe de perdre ses notions essentielles de démocratie et de liberté d’expression, l’état policier façon Sarkozy est en marche.