La droite est battue
Le second tour des élections régionales a confirmé la déroute de la droite dans notre département. Le département le plus sarkosiste de France n’octroie que 37% à l’UMP ! Pourtant les
Alpes-Maritimes sont placées sous le diktat d’Estrosi, de Ciotti et de leurs amis députés, sénateurs et maires de grandes villes. La chape de plomb de cette droite réactionnaire, antidémocratique a
été soulevée.
Dans de nombreuses communes la gauche arrive en tête y compris à Nice. Le rassemblement ne s’est pas fait sur un programme commun, chacun gardant ses propositions, mais sur un déclaration avec la prise en compte de certaines de ces propositions comme la gratuité des TER pour le Front de Gauche. Le report des voix dans les mairies communistes s’est effectué sans problème, on ne peut en dire autant de certains responsables socialistes qui ont boudé la campagne du second tour !
Le Front national réalise un score important bien qu’en recul par rapport à 2004. Estrosi, Ciotti et les autres ont joué avec le feu, sur la sécurité profitant des médias, ils portent une grande part de la responsabilité du retour du FN.
Le Front de Gauche a négocié sa deuxième épreuve électorale. Bien sûr, on ne peut être satisfait totalement du résultat en particulier avec la perte de trois sièges de conseiller régional. Pierre Bernasconi, Eliane Guigo et Adeline Mouton ont été pendant six ans des relais importants des luttes. Ils ont, chacun et chacune à sa façon, démoli les murs de l’indifférence, du mépris, du cynisme de la droite et des grands patrons.
Le Front de Gauche doit aujourd’hui offrir un espace de débats, de réflexions, de construction politique mais aussi organiser toutes celles et tous ceux qui luttent, qui résistent, qui souhaitent une gauche qui retrouve ses valeurs et qui soit majoritaire.
Les communistes doivent être les artisans de la création de cet espace. Ils doivent faciliter les rencontres avec le Parti de Gauche, la Gauche Unitaire, les syndicalistes, les militants associatifs mais aussi avec celles et ceux qui portent de vrais projets alternatifs, écologistes, citoyens, militants socialistes, militants du NPA…
Ne laissons pas la campagne des élections régionales se refermer sans lancer ce chantier. Il en va de la gauche, de sa capacité à présenter des solutions alternatives, en rupture avec le capitalisme. Il y a urgence à stopper la régression sociale, écologique et démocratique.
Dans de nombreuses communes la gauche arrive en tête y compris à Nice. Le rassemblement ne s’est pas fait sur un programme commun, chacun gardant ses propositions, mais sur un déclaration avec la prise en compte de certaines de ces propositions comme la gratuité des TER pour le Front de Gauche. Le report des voix dans les mairies communistes s’est effectué sans problème, on ne peut en dire autant de certains responsables socialistes qui ont boudé la campagne du second tour !
Le Front national réalise un score important bien qu’en recul par rapport à 2004. Estrosi, Ciotti et les autres ont joué avec le feu, sur la sécurité profitant des médias, ils portent une grande part de la responsabilité du retour du FN.
Le Front de Gauche a négocié sa deuxième épreuve électorale. Bien sûr, on ne peut être satisfait totalement du résultat en particulier avec la perte de trois sièges de conseiller régional. Pierre Bernasconi, Eliane Guigo et Adeline Mouton ont été pendant six ans des relais importants des luttes. Ils ont, chacun et chacune à sa façon, démoli les murs de l’indifférence, du mépris, du cynisme de la droite et des grands patrons.
Le Front de Gauche doit aujourd’hui offrir un espace de débats, de réflexions, de construction politique mais aussi organiser toutes celles et tous ceux qui luttent, qui résistent, qui souhaitent une gauche qui retrouve ses valeurs et qui soit majoritaire.
Les communistes doivent être les artisans de la création de cet espace. Ils doivent faciliter les rencontres avec le Parti de Gauche, la Gauche Unitaire, les syndicalistes, les militants associatifs mais aussi avec celles et ceux qui portent de vrais projets alternatifs, écologistes, citoyens, militants socialistes, militants du NPA…
Ne laissons pas la campagne des élections régionales se refermer sans lancer ce chantier. Il en va de la gauche, de sa capacité à présenter des solutions alternatives, en rupture avec le capitalisme. Il y a urgence à stopper la régression sociale, écologique et démocratique.