Conseil municipal du 21 janvier 2011
Cette séance était placée sous le signe du littoral avec les rapports d’activités des ports en délégation de service public, ceux des plages privées et une question concernant le chemin de la
Mosquée au cap d’Antibes.
Si nous laissons faire Jean Leonetti et son équipe UMP, l’accès au littoral va continuer de se réduire en particulier tout autour du cap d’Antibes.
Le déroulement du conseil municipal a été bouleversé car le maire est arrivé avec une heure de retard !
La 1ère question concernait les plages privées et les rapports annuels de l’exercice 2009. C’est Denis La Spesa qui est intervenu. Voir son intervention.
Une nouvelle fois, notre proposition d’instaurer plus de tranches et de déplafonner la progressivité n’a pas été retenue par le maire. Donc, pour les plages aussi, il y a ceux qui se gavent et
les autres qui sont à la peine ! Quant au retard pour présenter ces rapports, cela devient indécent.
Ensuite je suis intervenu sur la création d’une servitude de passage chemin de la Mosquée. Voir mon intervention.
Le maire joue le ravi de la crèche feignant de découvrir une situation qui existe depuis qu’il est maire et avant quand qu’il était conseiller municipal.
Puis, ce fut Cécile Dumas qui rappela notre volonté de voir rénovée et agrandie l’aire d’accueil des gens du voyage. Voir son intervention.
Elle intervient ensuite sur une nouvelle vente d’un bien communal (CCAS) alors que nous manquons de foncier pour le logement social. Voir son intervention.
A l’occasion d’un hommage à Camile Rayon, j’ai donné avec un peu d’humour notre position. Voir mon intervention.
De fait, à l’UMP on n’a pas d’humour. Les réponses du maire et de son 1er adjoint ont été politiquement correctes.
Denis La Spesa est intervenu sur la délégation de service public du Port Vauban.
Nous avons compris que l’extension du port était de nouveau à l’ordre du jour, pour plaire aux milliardaires qui, comme l’a si bien dit le maire, ont « les moyens financiers ». Voir l’intervention.
Enfin, je suis intervenu sur l’achat par le musée Picasso d’une œuvre d’Hélène Dufau qui a peint le port d’Antibes de la même chambre où, plus tard, Nicolas de Staël le fera. Voir l’intervention.