Antibes, notre ville

Publié le par Gérard PIEL

P1010371

A quelques deux cent jours des élections municipales le compte à rebours a commencé.

Pour ma part, je participe à la réflexion des communistes antibois qui doit se concrétiser cette semaine avec nos camarades du Front de Gauche et aboutir au lancement de la campagne électorale à la Fête de la mer, le 7 septembre.

Avec Cécile Dumas et Denis La Spesa nous avons porté les propositions de « la Gauche et l’Ecologie pour Antibes-Juan les Pins » avec force et sans compromission. Nos interventions en conseil municipal étaient, en quelque sorte, des éclairages apportés aux luttes que nous avons menées avec les Antibois et les Antiboises depuis 2008. 

-Droit au logement pour tous, emplois, défense des services publics, transports collectifs gratuits, refus des privatisations, accès libre à tout le littoral, écoles, crèches, personnel municipal… 

Nous avons été avec vous, parmi vous.

Ce mandat a été ponctué d’avancées et même si ce ne sont que des prémices, les nouvelles orientations de Jean Leonetti sur la politique du logement répondent à nos actions. Que ce soit les 50% de logements sociaux annoncés sur l’espace Marenda – Lacan avec le maintien des Restos du cœur en centre-ville, que ce soit la ZAC des Combes ou le projet de nouveau quartier près de la nouvelle salle de sports, nous disons banco !

Attention, nous savons que tout reste à faire mais les projets sont plutôt positifs.

 

Pour que cela soit réalisé, il est essentiel que « la Gauche et l’Ecologie pour Antibes-Juan les Pins », le Front de Gauche, le PCF, A Gauche Vraiment…. continuent d’être présents et bien présents au conseil municipal.

Il y a cinquante ans, Martin Luther King dans son célèbre discours concluant la marche pour les droits civiques pour les noirs, débutait ainsi « je fais un rêve ». Eh bien , rêvons ensemble à une ville où toutes et tous auraient un logement, un travail, pourraient utiliser les services publics dans la proximité, où les écoles seraient modernisées, réhabilitées, où il y aurait assez de places en crèche pour répondre à la demande, où le sport et la culture seraient accessibles à tous, où l’on pourrait faire une balade tout au long du littoral y compris au Cap, où la sécurité serait assurée dans tous les quartiers, où le développement des grandes surfaces serait stoppé, où les commerçants et artisans bénéficieraient du FISAC qui prenne en compte leurs problèmes, où les AMAP pourraient se développer atour d’espaces de vente solidaire, où les transports collectifs (TCSP compris) seraient gratuits ainsi que les parkings de dissuasion, où la commune n’utiliseraient que des logiciels libres, etc….

Et vous, vous rêvez de quoi ?

 

Publié dans Antibes-CASA

Commenter cet article