Ensemble le 26 mai, le 28 mai, le 7 juin
Des centaines d’entreprises en lutte, des milliers de salariés qui disent non au plan de casse sociale de l’UMP et du Medef. Hospitaliers, agents de La Poste, gaziers, électriciens, cheminots,
enseignants mais aussi étudiants et parents d’élèves, retraités, personnes handicapées, usagers, toutes et tous refusent le démantèlement des services publics.
Mal-logés, sans papiers, travailleurs précaires, jeunes en galère, militants de la solidarité qui devient un délit mais aussi élus et habitants des communes de notre département qui refusent la proposition de loi Balladur sur la métropolisation des Alpes-Maritimes, nous sommes tous confrontés à la raréfaction de la démocratie. Ces combats, ces résistances, ce sont aussi ceux des communistes, ceux du Front de gauche.
Dans les luttes nous donnons à voir du neuf avec ce rassemblement. De la même façon que les syndicats restent rassemblés face aux menaces de la droite et du patronat montrant leur unité pour organiser les nécessaires ripostes, le Front de gauche est la seule liste qui regroupe Parti communiste français, Parti de gauche, Gauche unitaire, syndicalistes et militants associatifs, seule liste à être soutenue par d’autres organisations comme le M’Pep ou les anciens présidents d’ATTAC, des collectifs d’économistes.
C’est donc bien un front uni qui se construit face à la droite de Sarkozy et cela était attendu par le peuple de gauche qui a assez de ces années de désespérance entre un PS social libéral dont les députés européens n’ont de cesse de voter aux côtés de Bayrou ou de l’ultra libéral Cohn-Bendit et de l’autre côté, l’isolement avec le NPA replié sur lui-même, refusant le front commun.
Alors oui, chaque voix se portant sur le Front de gauche participe au refus du Traité de Lisbonne avalisé par l’UMP, le MoDem, le PS, les Verts qui font comme si ce traité était en fonction, ce qui est faux.
Chaque voix se portant sur le Front de gauche validera les propositions sociales :
Droit au logement pour tous
Avoir recours aux logements vacants, supprimer le dépôt de garantie et mettre en place un moratoire sur les prêts relais
Les loyers seront bloqués pendant deux ans, pour ceux situés dans les zones à forte spéculation immobilière ils seront baissés de 10%
Les loyers seront indexés sur le coût de la vie comme les salaires.
L’état prendra la place des communes qui sont récalcitrantes à respecter la loi SRU (20% de logements sociaux).
Le statut du salarié
Le contrat à durée déterminée sera la référence.
Le recours au CDD, à l’intérim et au temps partiel seront encadrés et coûteront plus chers aux patrons.
La journée continue sera reconnue comme un droit afin d’éviter l’obligation des grandes coupures en particulier dans la grande distribution.
Relèvement des minima sociaux
Le Front de gauche propose d’augmenter les minima sociaux de 300 €.
Progressivement le minimum retraite devra atteindre le niveau du SMIC.
Une taxe sera instituée sur les profits financiers non réinvestis afin de financer la protection sociale.
Les salaires
L’écart entre les salaires minium des 27 pays européens est énorme : 92 € en Bulgarie et 1 570 € au Luxembourg.
Le Front de gauche propose d’instaurer une norme de revenu décent et une harmonisation sociale progressive.
En France, le SMIC serait augmenté en trois étapes pour atteindre 1 500 € net au 1er juillet 2010.
Salaires, pensions et minima sociaux seront indexés sur les prix.
Limiter les écarts de richesse
Mise en place d’une rémunération maximale pour éviter les gros écarts, plafonner les dividendes des actionnaires, suppression des bonus pour les patrons ainsi que les stock-options.
Les entreprises qui font des profits ne pourront pas procéder à des licenciements économiques.
Pour un véritable service public
Nationalisation de Total
Abandon des privatisations d’EDF, GDF Suez, La Poste.
Création d’emplois publics à l’hôpital, dans l’Education, l’audiovisuel public, la culture, la police et la justice.
Abrogation des directives imposant la mise en concurrence des services publics.
Le financement se fera par un plan de crise exceptionnel à hauteur de 5% du PIB soit environ 100 milliards d’euros.
Ainsi le 26 mai nous donnerons à voir aux salariés en mouvement, nos propositions.
Ainsi le 28 mai, nous montrerons l’utilité des élus du Front de gauche avec le dépôt de propositions de loi à l’Assemblée nationale.
Ainsi le 7 juin sera une journée de lutte et d’élection avec le Front de gauche.
Mal-logés, sans papiers, travailleurs précaires, jeunes en galère, militants de la solidarité qui devient un délit mais aussi élus et habitants des communes de notre département qui refusent la proposition de loi Balladur sur la métropolisation des Alpes-Maritimes, nous sommes tous confrontés à la raréfaction de la démocratie. Ces combats, ces résistances, ce sont aussi ceux des communistes, ceux du Front de gauche.
Dans les luttes nous donnons à voir du neuf avec ce rassemblement. De la même façon que les syndicats restent rassemblés face aux menaces de la droite et du patronat montrant leur unité pour organiser les nécessaires ripostes, le Front de gauche est la seule liste qui regroupe Parti communiste français, Parti de gauche, Gauche unitaire, syndicalistes et militants associatifs, seule liste à être soutenue par d’autres organisations comme le M’Pep ou les anciens présidents d’ATTAC, des collectifs d’économistes.
C’est donc bien un front uni qui se construit face à la droite de Sarkozy et cela était attendu par le peuple de gauche qui a assez de ces années de désespérance entre un PS social libéral dont les députés européens n’ont de cesse de voter aux côtés de Bayrou ou de l’ultra libéral Cohn-Bendit et de l’autre côté, l’isolement avec le NPA replié sur lui-même, refusant le front commun.
Alors oui, chaque voix se portant sur le Front de gauche participe au refus du Traité de Lisbonne avalisé par l’UMP, le MoDem, le PS, les Verts qui font comme si ce traité était en fonction, ce qui est faux.
Chaque voix se portant sur le Front de gauche validera les propositions sociales :
Droit au logement pour tous
Avoir recours aux logements vacants, supprimer le dépôt de garantie et mettre en place un moratoire sur les prêts relais
Les loyers seront bloqués pendant deux ans, pour ceux situés dans les zones à forte spéculation immobilière ils seront baissés de 10%
Les loyers seront indexés sur le coût de la vie comme les salaires.
L’état prendra la place des communes qui sont récalcitrantes à respecter la loi SRU (20% de logements sociaux).
Le statut du salarié
Le contrat à durée déterminée sera la référence.
Le recours au CDD, à l’intérim et au temps partiel seront encadrés et coûteront plus chers aux patrons.
La journée continue sera reconnue comme un droit afin d’éviter l’obligation des grandes coupures en particulier dans la grande distribution.
Relèvement des minima sociaux
Le Front de gauche propose d’augmenter les minima sociaux de 300 €.
Progressivement le minimum retraite devra atteindre le niveau du SMIC.
Une taxe sera instituée sur les profits financiers non réinvestis afin de financer la protection sociale.
Les salaires
L’écart entre les salaires minium des 27 pays européens est énorme : 92 € en Bulgarie et 1 570 € au Luxembourg.
Le Front de gauche propose d’instaurer une norme de revenu décent et une harmonisation sociale progressive.
En France, le SMIC serait augmenté en trois étapes pour atteindre 1 500 € net au 1er juillet 2010.
Salaires, pensions et minima sociaux seront indexés sur les prix.
Limiter les écarts de richesse
Mise en place d’une rémunération maximale pour éviter les gros écarts, plafonner les dividendes des actionnaires, suppression des bonus pour les patrons ainsi que les stock-options.
Les entreprises qui font des profits ne pourront pas procéder à des licenciements économiques.
Pour un véritable service public
Nationalisation de Total
Abandon des privatisations d’EDF, GDF Suez, La Poste.
Création d’emplois publics à l’hôpital, dans l’Education, l’audiovisuel public, la culture, la police et la justice.
Abrogation des directives imposant la mise en concurrence des services publics.
Le financement se fera par un plan de crise exceptionnel à hauteur de 5% du PIB soit environ 100 milliards d’euros.
Ainsi le 26 mai nous donnerons à voir aux salariés en mouvement, nos propositions.
Ainsi le 28 mai, nous montrerons l’utilité des élus du Front de gauche avec le dépôt de propositions de loi à l’Assemblée nationale.
Ainsi le 7 juin sera une journée de lutte et d’élection avec le Front de gauche.