Conseil municipal, séance du 27 mars 2009
Une trentaine de questions à l’ordre du jour de cette séance qui a débuté par un échange sur « la démocratie du chronomètre ».
Une réunion des présidents de groupe ayant été convoquée en début de semaine, le député-maire qui n’y avait pas participé, c’était le 1er adjoint qui représentait l’UMP, est revenu sur cette rencontre :
Une nouvelle fois, il démontre que sa seule volonté est de réduire l’expression de l’opposition et en particulier celle de « la gauche et l’écologie ».
Nous avons laissé les autres listes discuter sur cette question car pour nous l’essentiel n’est pas dans la durée des interventions mais dans ce qui est dit !
Par exemple, nous avons été les seuls à intervenir sur deux arrêtés pris par le maire :
Le 1er concerne un bail dit précaire concédé à un cadre de la commune. Ce bail précaire depuis 2004 est l’exemple même des privilèges accordés à certains alors que 1 335 familles sont en demande de logement social. Voila ce que j’ai dit au maire. Voir l’intervention.
Le 2e arrêté porte sur un permis de construire accordé à Antibes-les-Pins alors que l’enquête publique avait donné un avis défavorable. Une nouvelle fois, le 1er adjoint s’est défaussé sur les services de la préfecture en réponse à mon intervention. Voir l’intervention.
Denis La Spesa est intervenu sur les emplois temporaires pour la saison d’été. Voir l’intervention. En réponse le maire a invoqué la disparition des personnes affectées aux parkings, ceux-ci étant maintenant automatisés.
Nouveau rapport concernant le logement avec la vente de quatre logements à la Société ERILIA.
Cécile Dumas est intervenue sur la création d’un prix junior et jeune méritant. Alors que la jeunesse est confrontée à la politique de l’UMP, la droite locale joue les dames patronnesses. Lire l’intervention.
Elle a enchaîné avec les bourses municipales délivrées aux jeunes antibois faisant des études supérieures. Voir l’intervention.
Georges Roux, l’homme qui voulait fermer le collège de La Rostagne a invoqué le Conseil régional ! Pauvre argument d’un élu en perdition…
La dernière question méritant une intervention portait sur la mise en concurrence du festival mondial de l’image sous-marine.
A coups d’arguments fallacieux le maire a expliqué pourquoi il fallait « noyer son chien qui a la rage ». Après 36 ans de gestion associative, il règle un différent par une solution définitive.
Mais toujours rien pour « Musiques au cœur ». Lire l’intervention.
Ce conseil nous a donné l’occasion de bénéficier d’invitations pour l’inauguration de la nouvelle exposition du musée Picasso car, une nouvelle fois, les élus de « la gauche et l’écologie » avaient été oubliés. Cela devient une habitude. On nous a donc remis à Cécile Dumas, Denis La Spesa et moi-même ces fameuses invitations en catimini, pourtant c’est bien le conseil municipal qui est invité !
Peut-être que la particularité de Picasso et même de Dor de la Souchère, militants communistes, est gênante ! Peut-être que le cadeau inestimable qu’a fait Picasso à Antibes est à mettre en parallèle avec les 500 000 € exigés par Plensa pour exposer son œuvre, peut-être….
Pour ma part, j’irai bien sûr visiter l’exposition hors inauguration et petits fours et je vous invite toutes et tous à faire de même.
Une réunion des présidents de groupe ayant été convoquée en début de semaine, le député-maire qui n’y avait pas participé, c’était le 1er adjoint qui représentait l’UMP, est revenu sur cette rencontre :
- Temps de parole décompté : pas plus de 3 minutes par groupe et par questions,
- Questions orales et débat : 3 par groupe dont une avec débat.
Une nouvelle fois, il démontre que sa seule volonté est de réduire l’expression de l’opposition et en particulier celle de « la gauche et l’écologie ».
Nous avons laissé les autres listes discuter sur cette question car pour nous l’essentiel n’est pas dans la durée des interventions mais dans ce qui est dit !
Par exemple, nous avons été les seuls à intervenir sur deux arrêtés pris par le maire :
Le 1er concerne un bail dit précaire concédé à un cadre de la commune. Ce bail précaire depuis 2004 est l’exemple même des privilèges accordés à certains alors que 1 335 familles sont en demande de logement social. Voila ce que j’ai dit au maire. Voir l’intervention.
Le 2e arrêté porte sur un permis de construire accordé à Antibes-les-Pins alors que l’enquête publique avait donné un avis défavorable. Une nouvelle fois, le 1er adjoint s’est défaussé sur les services de la préfecture en réponse à mon intervention. Voir l’intervention.
Denis La Spesa est intervenu sur les emplois temporaires pour la saison d’été. Voir l’intervention. En réponse le maire a invoqué la disparition des personnes affectées aux parkings, ceux-ci étant maintenant automatisés.
Nouveau rapport concernant le logement avec la vente de quatre logements à la Société ERILIA.
4 logements vacants depuis juillet 2006.
Ce rapport démontre bien que nous avons raison : les logements vides appartenant à la ville existent ! Voir l’intervention.Cécile Dumas est intervenue sur la création d’un prix junior et jeune méritant. Alors que la jeunesse est confrontée à la politique de l’UMP, la droite locale joue les dames patronnesses. Lire l’intervention.
Elle a enchaîné avec les bourses municipales délivrées aux jeunes antibois faisant des études supérieures. Voir l’intervention.
Georges Roux, l’homme qui voulait fermer le collège de La Rostagne a invoqué le Conseil régional ! Pauvre argument d’un élu en perdition…
La dernière question méritant une intervention portait sur la mise en concurrence du festival mondial de l’image sous-marine.
A coups d’arguments fallacieux le maire a expliqué pourquoi il fallait « noyer son chien qui a la rage ». Après 36 ans de gestion associative, il règle un différent par une solution définitive.
Mais toujours rien pour « Musiques au cœur ». Lire l’intervention.
Ce conseil nous a donné l’occasion de bénéficier d’invitations pour l’inauguration de la nouvelle exposition du musée Picasso car, une nouvelle fois, les élus de « la gauche et l’écologie » avaient été oubliés. Cela devient une habitude. On nous a donc remis à Cécile Dumas, Denis La Spesa et moi-même ces fameuses invitations en catimini, pourtant c’est bien le conseil municipal qui est invité !
Peut-être que la particularité de Picasso et même de Dor de la Souchère, militants communistes, est gênante ! Peut-être que le cadeau inestimable qu’a fait Picasso à Antibes est à mettre en parallèle avec les 500 000 € exigés par Plensa pour exposer son œuvre, peut-être….
Pour ma part, j’irai bien sûr visiter l’exposition hors inauguration et petits fours et je vous invite toutes et tous à faire de même.