Scandaleux, la solidarité hors-la-loi
J’ai été alerté le 13 juillet par des responsables de RESF de l’arrestation d’une militante à proximité de la gare SNCF d’Antibes.
Intervenant auprès de la police, j’ai appris que Claire a été placée en garde à vue à la caserne Auvare à Nice.
Elle n’a été libérée que mardi matin. Elle sera convoquée au Tribunal de Grasse le 18 décembre.
Son crime, être solidaire des réfugiés victimes de guerre, de persécutions et de dictateurs sanguinaires. Ne nous trompons pas, c’est bien le donneur d’ordre du ministère de l’Intérieur qui pratique ces procédés indignes d’une autre époque et qui cherche à museler la solidarité.
Décidément en ce 14 juillet, la devise de la République était une nouvelle fois galvaudée par ce pouvoir qui se dit socialiste !