Les copains et les coquins
Du temps de Giscard on les appelait les copains et les coquins. Poniatowski, De Broglie, etc. se partageaient les magots pendant que Giscard récupérait des diamants. Avec Sarkozy cela se fait
encore plus cyniquement : « je fusionne deux banques dont une coopérative depuis sa création et je désigne le président, mon conseiller Perol celui qui a réussi en deux ans à l’économie ». Voila ce
que pourrait dire le nouveau Napoléon III ;
Décidemment, Sarkozy est bien un président de classe, celle des grands bourgeois qu’il a privilégiée avec le bouclier fiscal, celle des prébendes et des petits cadeaux.
Alors que le peuple souffre, que des milliers de personnes subissent sa politique de profits pour le grand patronat, que les Antilles subissent depuis plus d’un mois son indifférence, il pare à l’urgence : faire plaisir à son copain Perol. Ecoeurant.
Décidemment, Sarkozy est bien un président de classe, celle des grands bourgeois qu’il a privilégiée avec le bouclier fiscal, celle des prébendes et des petits cadeaux.
Alors que le peuple souffre, que des milliers de personnes subissent sa politique de profits pour le grand patronat, que les Antilles subissent depuis plus d’un mois son indifférence, il pare à l’urgence : faire plaisir à son copain Perol. Ecoeurant.